Ma collègue détestée

Nocturne sous haute tension

Il est tard, tout le monde a quitté le bureau, sauf toi et moi, les deux bourreaux de travail de la boîte. Des fois, je me demande si tu ne fais pas exprès de me faire de la concurrence. T’aimes écraser ceux qui t’entourent… surtout moi. Ça m’énerve autant que ça m’excite. Du coin de l’œil, je te vois te lever de ta chaise et t’approcher de moi, un classeur à la main. J'essaie de me concentrer sur mon écran, de ne pas te laisser voir que tu me troubles. Tu croises les bras, et dans un soupir tu me lances qu’il manque un élément à ma présentation de demain. Tu jettes le dossier sur mon bureau avec une telle suffisance que je lève les yeux de mon écran, outré. J’ai juste envie de tirer sur ton chignon, de t’agenouiller devant moi et de t’arracher ton chemisier. Il faut que je termine ce travail, vite. Je n’en peux plus de rester dans la même pièce que toi. Ca fait des mois que la tension s’accumule entre nous, et je sens que je vais exploser. Je t’entends soupirer, et porter une main à ta nuque pour défaire ton chignon. Je vois sur ton visage la fatigue qui te gagne, et l’espace de quelques secondes je te trouve plus humaine et vulnérable. Tu lèves les yeux et me surprend en train de te fixer. Je sens que quelque chose illumine ton visage. Tu saisis ta tasse, me lances un sourire et me fais un signe de tête, avant de te lever pour aller à la machine à café. Je me lève et me rapproche de toi, tandis que tu te verses une tasse. Tu me demandes si je vais bien. « Quoi ? Oh… ouais. J’suis juste… fatigué. ». Tu lèves les sourcils, et me réponds ironiquement que ca serait pas le cas si je travaillais plus efficacement. « T’es sérieuse ? T’as un toupet… Toi aussi t’es là, à bosser jusqu’à pas d’heure… Qu’est-ce que ça dit de toi, à ton avis ? Que t’es pas mieux que moi. ». Je te vois me regarder avec un air offensé et incrédule, sans réussir à trouver une réponse juste.

Tu n’es bonne qu’à ça !

On est tous les deux pleins de rage contenue. Quelque chose d’étrange se produit… Je t’embrasse d’un coup, méchamment. Tes lèvres se pressent contre les miennes avec fureur, je te mordille la langue et ton goût m’enivre. J'attrape ta taille et tu passes tes bras autour de mon cou. On se heurte l’un à l’autre, on s’enlace avec violence comme si on évacuait toute notre colère. T’as le souffle court, et d’une voix basse tu me demandes de te punir, de t’humilier. « Je veux que tu prennes le dessus sur moi, pour une fois ». Tes mots, le ton suppliant de ta voix… Ca déclenche un truc en moi, et mon excitation monte d’un coup. J’attrape ton chemisier et te tire vers moi. Je déboutonne précipitamment ton haut tout en embrassant ton cou et en plongeant mon nez dans tes cheveux maintenant défaits et désordonnés. Je veux détruire cette image parfaite de toi et que tu me montres qui tu es vraiment, quand tu perds tout contrôle…Sous mes mains je sens tes seins et ta peau veloutée… Je viens mordre tes seins et pincer tes tétons. Tu me supplies de continuer, plus fort. « Putain, tu m’excites tellement. En fait t’es vraiment la plus belle des salopes…". T’as un léger rire qui se mêle à tes gémissements d’excitation. J’ai touché juste : y’a rien qui te fait plus mouiller que d’être traitée de tous les noms et être remise à ta place. Tu plaques ton bassin contre le mien, et tu gémis encore plus fort en sentant à quel point je bande. « Mets-toi à genoux, maintenant. Je vais t’utiliser pour mon plaisir. T’es bonne qu’à ça, de toute façon. ». Tu lèves vers moi des yeux implorants et fiévreux de désir, et tu hoches la tête.

Prendre le dessus sur toi

Tu t’agenouilles lentement tandis que je tiens ton menton pour que tu lèves ton visage. « Ouvre ton pantalon et caresse-toi pendant que je baise ta bouche. Je veux que tu jouisses quand je te l’ordonne, d’accord ? ». Tu me murmures un « Oh oui » si plein d’envie que je sens ma queue durcir encore plus, jusqu’à en avoir mal. Je te vois te cambrer légèrement tandis que tu commences à te caresser, et tu me regardes en ouvrant la bouche, prête à m’avaler. Je déboucle ma ceinture et sors ma bite de mon caleçon, et je te vois te mordre la lèvre inférieure en me regardant faire. Tu lèves ton autre main pour toucher ma queue, mais je te retiens d’un geste ferme. Je te prends la tête d’une main et t’attire vers moi, pour aller plonger ma queue entre tes lèvres exquises… Ta bouche chaude et humide est juste parfaite… Je commence à aller et venir avec des mouvements de bassin lents et profonds, et à chacun de tes gémissements je ressens les vibrations de ta voix, qui viennent s’ajouter aux sensations délicieuses de ta langue et tes lèvres… Je vais de plus en plus profond dans ta gorge, tout en tenant ta tête immobile. Je sens mon gland toucher le fond de ta gorge, et t’es prise de quelques haut-le-cœur mais tu ne bouge pas d’un centimètre, complètement en transe. Je vois ta main bouger de plus en plus vite dans ta culotte, tu te touches avec frénésie, et tes gémissements de plaisir s’amplifient. Putain, t’es tellement bonne… Je me retire de ta bouche pour prendre ton visage entre mes mains. T’es couverte de bave, et ton maquillage a dégouliné. « Si tu te voyais : t’es complètement défaite, souillée… J’adore. Allez. Lève-toi et tourne-toi. Je veux voir ton cul, te prendre par derrière. Surtout n’arrête pas de te toucher. ». J’enfile vite une capote pendant que tu te relèves, haletante, pour te pencher sur le bureau d’à côté et me présenter tes fesses magnifiques.

Une belle traînée

Je baisse ta culotte d’un coup et écarte ta chair pour guider le bout de ma queue entre les plis chauds de ta chatte. Lentement, très lentement, je me glisse à l’intérieur de toi. T’es déjà trempée… J’agrippe tes hanches et commence mes va-et-vient en toi, et à chaque coup de reins tes gémissements me font perdre les pédales… Tu te cambres de plus en plus et j’attrape instinctivement ton cou, pour te forcer à tourner ton visage vers moi. Je t’embrasse sauvagement. On ne se quitte pas des yeux tandis que je te baise de plus en plus vite. Ta respiration s’accélère, je sens que tu trembles et te contracte de plus en plus… Tu vas bientôt jouir… « T’aimes quand je te baise fort comme ça ? T’es vraiment une belle traînée… ». Mes mots te font complètement partir : tu gémis de plus en plus fort, et d’un coup une vague de plaisir te submerge. Je sens tous tes muscles enserrer ma queue tandis que tu te branles le clito encore plus vite. Ton visage se tord de jouissance et tu cries dans tout le bureau. Entre deux halètements, tu me supplies de continuer à te pénétrer. Tu veux que je te salisse et jouisses sur tes fesses. Oh, mais avec plaisir… Je suis stupéfait de te découvrir aussi audacieuse. Je sens ton périnée se resserrer autour de ma bite, encore et encore. Tu sais très bien ce que tu fais et comment m’amener à la jouissance… Je sors ma queue et enlève la capote juste à temps pour éjaculer sur ton cul…Tu te retournes, et je te serre dans mes bras alors qu’on essaie tous les deux de retrouver notre souffle. Une, deux minutes passent. On se rhabille et je te vois peu à peu redevenir ma meilleure ennemie du travail. Je crois bien que ce petit jeu entre nous ne fait que commencer…